Un jeu où il ne s’agirait pas de gagner ou de perdre
Jeu-performance collectif et dessins, 2016
Trois équipes, rose, gris et bleu ont joué dans l’agora de l’Université du Québec à Montréal, misent en action par des règles du jeu qui les amenaient à proposer des « mouvements de groupes » entre les différents étages. Jouer à un grand jeu dans l’Université porte une réappropriation de l’espace et cherche à faire écho aux violents affrontements au sein même de ce lieu entre les policiers anti-émeutes et les étudiants lors des grèves de 2015.
Réalisé avec Gabrielle Pfalzgraf et Laure Bourgault. Avec l’aide d’Hélène Doyon, des étudiants du cours de Bachelor le performatif et des équipes de l’UQAM. Ci-contre : illustration des “mouvements de groupes” lors de la performance.
Trois équipes, rose, gris et bleu ont joué dans l’agora de l’Université du Québec à Montréal, misent en action par des règles du jeu qui les amenaient à proposer des « mouvements de groupes » entre les différents étages. Jouer à un grand jeu dans l’Université porte une réappropriation de l’espace et cherche à faire écho aux violents affrontements au sein même de ce lieu entre les policiers anti-émeutes et les étudiants lors des grèves de 2015.
Réalisé avec Gabrielle Pfalzgraf et Laure Bourgault. Avec l’aide d’Hélène Doyon, des étudiants du cours de Bachelor le performatif et des équipes de l’UQAM. Ci-contre : illustration des “mouvements de groupes” lors de la performance.